Traduction anglais-français par Martin Lavallée
Le leurre funeste
Le leurre funeste
Qu’une Maison universelle de justice faite de main d’homme, évidemment faillible, sans Gardien et donc illégitime et illicitement formée, imposée au monde Bahá’í par les anciennes Mains de la Cause, suite au trépas de Shoghi Effendi en 1957, qui avaient infidèlement conclu que le gardiennat aurait pris fin et qui alors, au lieu des institutions jumelles décrites par `Abdu’l-Bahá en Son divinement conçu, sacré et immortel Testament, ont substitué ce corps esseulé et décapité de leur propre fabrication et, nonobstant son évidente incomplétude, sa difformité acéphale et son usurpation éhontée de fonctions clairement contraires aux stipulations du mandat sacré de `Abdu’l-Bahá, se trompe lourdement en croyant qu’elle serait capable de réussir à établir l’ordre mondial de Bahá’u’lláh—le royaume de Dieu «sur la terre comme au ciel» si longtemps prié, supplié et attendu.
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
Le 9 janvier 1951
La date à laquelle Shoghi Effendi a envoyé la seule et unique proclamation de son ministère.
« La date à laquelle il a établi la première institution internationale embryonnaire que l’histoire proclamera comme l’événement le plus grand, répandant l’éclat sur la deuxième époque de l’âge formatif de la dispensation Bahá’íe, sans égal dans les entreprises conçues depuis la naissance de l’ordre administratif de la Foi au lendemain de l’ascension de `Abdu’l-Bahá, occupant un rang secondaire seulement aux événements immortels et glorieux associés avec les ministères des trois Figures centrales de la Foi. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
Extraits des notes de May Maxwell (accompagnée durant
son pèlerinage par sa fille Mary, que Shoghi Effendi nomma Rúhiyyih
Khánum, suite à leurs épousailles)
« Les extraits suivants proviennent des Notes de Haïfa par May Maxwell, qui prit ces notes d’énoncés par Shoghi Effendi lorsqu’accompagnée par sa fille, Mary qui, plus tard, en tant qu’épouse de Shoghi Effendi, reçu le nom de Rúhíyyih Khánum, durant leur pèlerinage en Terre sainte en 1937. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
Un compte rendu des multiples inexcusables erreurs des
autrefois Mains de la Cause (avec une seule exception). « Ce corps règne de façon ignoble, sans gloire ni vergogne, sur ce que les anciennes Mains ont de façon scélérate ouvré en violant l’ordre administratif divinement conçu que nous a octroyé `Abdu’l-Bahá, en déclarant cet ordre désormais défunt et le gardiennat de la Foi terminé pour l’éternité. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
Cinq messages de Shoghi
Effendi démontrant irréfutablement la continuité du gardiennat.
« Ces messages furent inexcusablement oubliés ou ignorés par les Mains de la Cause dans leur répréhensible et hâtif abandon du gardiennat dès les premiers jours de leur conclave à `Akká suite au trépas de Shoghi Effendi avec comme résultat que les importantissimes signification et implications de ces mêmes messages ne furent jamais perçues par celles-ci et demeurèrent incomprises par le monde Bahá’í jusqu’à présent avec de tragiques conséquences pour la Foi. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
Première lettre sans réponse envoyée à
Rúhíyyih Khánum, par le troisième Gardien de la Foi
Bahá’íe, datée de Ridván 1988.
« Bien que je ne m’attende point à recevoir de réponse à cette lettre, il est mon fervent espoir qu’elle vous aura rendu capable de percevoir la preuve écrasante qui démontre qu’il s’agissait bien de l’intention et du but de Shoghi Effendi de préserver la continuité du gardiennat en fidèle conformité aux dispositions du Testament du Centre du Covenant et qu’il l’a fait mais en une façon si voilée qu’elle ne fut point perçue par quiconque parmi nous pour les raisons évidentes indiquées dans cette lettre. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
La seconde lettre
« Cette seconde
lettre que je vous envoie et que je n’avais point l’intention
de rédiger a pour origine, depuis ma précédente
lettre remontant à déjà deux ans, j’eue la
fortune de lire votre livre Le Gardien de la Foi
Bahá’íe. » Joel B. Marangella, Gardien de la Foi
Bahá’íe
La Foi Bahá’íe
« La Foi Bahá’íe enseigne que l’unité du monde est l’étape inévitable vers laquelle la société se dirige marquant un processus séculaire du développement de l’enfance vers la maturité; et pour guider l’humanité dans ce processus évolutionnaire le Créateur a révélé Sa parole et Ses Lois d’âge en âge par un intermédiaire choisi, un prophète ou une manifestation de Dieu. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
L’essentialité du gardiennat
pour l’ordre mondial de Bahá’u’lláh
« Séparé de l’institution du Gardien de la Cause, l’ordre mondial de Bahá’u’lláh serait mutilé et pour toujours privé de ce principe héréditaire qui, d’après les écrits de `Abdu’l-Bahá, a été invariablement soutenu par la Loi de Dieu. »
Shoghi Effendi, premier Gardien de la Foi Bahá’íe
Les lamentations
de Shoghi Effendi
« Considérez les pleurs de Shoghi Effendi dans le royaume d’Abhá et sa profonde tristesse alors qu’il voit que ses labeurs inlassables de 36 ans pour fidèlement ériger les institutions administratives de la Foi en une conformité absolument complète avec les dispositions sacrées, divinement conçues et immortelles du Testament de `Abdu’l-Bahá et qui, durant les années finales de son ministère, ont « enfin » culminé si glorieusement dans l’érection, des plus hautes institutions de l’ordre administratif au Centre mondial de la Foi furent, lors de son décès, presque décimées par une décision tragique, hâtive et injustifiée des Mains de la Cause. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
Shoghi Effendi
prédit un rôle actif pour le Conseil
« Shoghi Effendi prédit un rôle actif pour le Conseil international Bahá’í dans un message qui présagea indirectement et indéniablement son décès imminent et confirma l’identité de son successeur désigné »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
Lettre ouverte du 9 juillet 1960
« À présent, je suis certain que la plupart, sinon l’ensemble des personnes à qui cette lettre s’adresse, aura appris que j’ai accepté, de même que d’autres croyants de France, Mason Remey comme second Gardien de la Cause de Dieu.
N’ayant pas le temps d’écrire à chacun de vous des lettres personnelles et désirant particulièrement communiquer avec un grand nombre d’entre vous que j’ai connu durant moult années, certains depuis mon enfance, je ressens que la seule façon de le faire serait d’écrire cette lettre ouverte qui peut être reproduite. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
Préface
L’Assemblée spirituelle nationale des Bahá’ís de France fut la seule à reconnaître et accepter le second Gardien de la Foi Bahá’íe en mai 1960. Pourquoi cela?
Déclaration
de l’Assemblé spirituelle nationale des Bahá’ís de France
Relation de la violation
du Covenant et de l’administration Bahá’íe en France
La proclamation de
Mason Remey
Au monde Bahá’í à Ridván en 1960, mettant en avant sa légitime revendication au Gardiennat, sur la base de sa nomination par Shoghi Effendi en stricte obéissance aux termes du Testament de `Abdu’l-Bahá.
La première
lettre encyclique de Mason Remey
Ceci est la première d’une série de lettres encycliques du Gardien de la Foi Bahá’íe envoyée de Washington DC, États-Unis d’Amérique
La troisième
lettre encyclique
Ceci est la troisième d’une série de lettres encycliques du Gardien de la Foi Bahá’íe envoyée de Washington DC, États-Unis d’Amérique
« J'ai bien reçu ta lettre du 17 février et doit admettre que j’ai été profondément désappointé par ta réponse à ma dernière lettre. Il est clair que tu avais choisi d'ignorer complètement l'un des fondements sur lequel mon accession au gardiennat de la Foi était basée, et le seul fondement sur lequel la revendication de Mason Remey reposait, et enfin le seul principe sur lequel, toi, l'Assemblée nationale spirituelle de France et tous ceux d'entre vous qui sont restés fidèles au Covenant, ont accepté Mason comme le second Gardien de la Foi. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
Ils refusent de faire face aux faits indéniables
« Car il y avait bien projeté le futur rôle actif du Conseil international Bahá’í, où Shoghi Effendi s’y réfère pour la première fois comme « le Corps central », indiquant significativement que ce Conseil deviendra désormais une institution active puisqu’il affirme qu’elle « dirigera » les Assemblées nationales spirituelles du monde entier dans les « opérations largement ramifiées » comprises dans l’accomplissement de leurs buts respectifs assignés de la croisade mondiale de Dix Ans devant débuter en 1953. (Le trépas de Shoghi Effendi, comme il l’a lui-même prévu et prédit, ayant eu lieu en novembre 1957 au beau milieu de la croisade). Simultanément, il confirma de plus, quoique de façon indirecte, la permanence de la présidence de Mason Remey sur cette « institution » fonctionnant activement et, par le fait même, sa légitime accession au gardiennat. »
Joel B. Marangella, Gardien de la Foi Bahá’íe
La Foi Bahá’íe orthodoxe se
distingue par l’acceptation du Testament de `Abdu’l-Bahá, le fils du fondateur de la
Foi, comme un document divinement conçu, sacré, immuable et immortel, qui définit
les institutions essentielles d’un ordre administratif unique et qui constitue, avec
l’application des lois et des principes révéles par
Bahá’u’lláh la base du fondement de l’ordre mondial de
Bahá’u’lláh et d’une future civilisation mondiale.
Cet ordre fut établi dans sa forme
embryonnaire par Shoghi Effendi, le premier Gardien de la Foi Bahá’íe, pendant ses
36 années de ministère. Shoghi Effendi a été désigné par
`Abdu’l-Bahá dans son Testament (document qui a aussi assuré la continuité
de cette institution, aussi longtemps que la Loi de Bahá’u’lláh continue dans
la succession des Gardiens de la Foi, chacun désigné par son prédécesseur
« de son vivant. »)
L’unique autorité pour
interpréter la sainte écriture Bahá’íe a été investie
par `Abdu’l-Bahá dans les Gardiens. Le Gardien, tête sacrée et membre
distingué « de son vivant » de la Maison universelle de justice,
constitue le plus haut organe législatif de l’ordre administratif. Dans cette
qualité, il s’assure que les lois subsidiaires, qui sont décrétées
par cet organe législatif, sont en conformité avec les lois immuables
révélées par Bahá’u’lláh dans Son Livre le plus saint (le
Kitáb-i-Aqdas). Shoghi Effendi a déclaré que les institutions jumelles du
gardiennat et de la Maison universelle de justice (qui se suppléent dans leur autorité
et leur fonction), sont inséparables et sont les deux piliers qui soutiennent cette très
puissante structure administrative.
Contrairement aux Bahá’ís
hétérodoxes qui croient que le gardiennat se termina avec la mort de Shoghi Effendi, les
Bahá’ís orthodoxes pensent que Shoghi Effendi a désigné son
successeur, Mason Remey, avec une fidèle obéissance des clauses du Testament de
`Abdu’l-Bahá. L’entière approbation de Mason Remey, comme le second Gardien,
« Centre de la Cause », et à son tour son successeur
désigné, constitue la fidélité au Covenant de
Bahá’u’lláh.
Pour toutes informations, consulter le
réseau internet sous les références des pages suivantes. Ces informations peuvent
aussi être demandées, en écrivant à la « National Bahá’í Council
of the United States, » boîte postale 3201, Roswell, N. M. 88202-3201,
États-Unis d’Amérique.
Références à consulter Proclamation du 9 janvier 1951 (sous forme de télégramme)
établissant le Conseil international Bahá’í, comme l’embryon de la
Maison universelle de justice.
Extrait du télégrammes du 2 mars 1951, identifiant Mason Remey, la
personne qu’il a désignée comme président du Conseil international
Bahá’í.
Extraits des télégrammes du 25 avril 1951, déclarant que
l’établissement du Conseil international Bahá’í et la construction de la
superstructure du sépulcre du Báb, constituent les premières preuves de la
« naissance et de la consolidation du Centre administratif de la Foi mondiale de
Bahá’u’lláh. »
Extrait du télégramme du 30 novembre 1951, qui met en relief,
à « l’approche du grand jubilé, l’inauguration de cette longue
phase d’attente intercontinentale dans l’évolution administrative de la
Foi. » Cette extrait parle aussi de la relation, qui existe entre, d’une part
« la consolidation de la Foi dans son Centre mondial par la récente formation du
Conseil Bahá’í international en Terre sainte » et d’autre part, de
« l’initiation des mesures hautement significatives, qui cimentent davantage, les
assemblées nationales Bahá’ís, des cinq continents du globe. »
Télégramme du 24 decembre 1951, qui fait la revue de la chaîne
des
événements historiques récents, annonçant
de manière très anticipée, la naissance et l’établissement du Centre
mondial administratif, en Terre sainte, de la Foi Bahá’í, incluant parmi
d’autres, « la création du Conseil international Bahá’í et
l’acquisition des propriétés dans le voisinage du Sépulcre du Báb,
destinées à servir de site aux futures constructions envisagées par
`Abdu’l-Bahá, pour loger les agences auxillaires, gravitant autour des institutions
jumelles, du gardiennat et de la Maison de justice. » Ce télégramme annonce
également, le premier contingent de douze Mains de la Cause, incluant Mason Remey,
précisant, la mesure préliminaire en paralléle, de la formation du Conseil
international, dont l’apothéose fut l’émergence de la Maison universelle de
justice.
en langue anglaise
GOD PASSES
BY (Chapitre XIV) par Shoghi Effendi.
« Le Covenant de Bahá’u’lláh. »
GOD PASSES BY
(Chapitre XXII) par Shoghi Effendi.
« La naissance et l’établissement de l’ordre administratif. »
THE WILL AND
TESTAMENT de `Abdu’l-Bahá.
« Son plus grand legs à la postérité et la charte du nouvel ordre
mondial de Bahá’u’lláh. »
THE DISPENSATION OF BAHÁ’U’LLÁH.
« L’ordre administratif »
par Shoghi Effendi, considéré comme le testament spirituel du premier Gardien.
MESSAGES TO THE
BAHÁ’Í WORLD 1950-1957 par Shoghi Effendi.
MESSAGES TO THE
BAHÁ’Í WORLD 1950-1957 par Shoghi Effendi.
MESSAGES TO THE
BAHÁ’Í WORLD 1950-1957 par Shoghi Effendi.
MESSAGES TO THE
BAHÁ’Í WORLD 1950-1957 par Shoghi Effendi.
MESSAGES TO THE BAHÁ’Í WORLD 1950-1957 par Shoghi Effendi.
EXTRACTS FROM DAILY OBSERVATIONS OF THE BAHÁ’Í FAITH MADE TO THE
HANDS OF THE FAITH IN THE HOLY LAND par Mason Remey pendant qu’il servait de
membre au collège des neuf Mains de la Cause au Centre mondial, à
la suite de la disparition de Shoghi Effendi.
APPEALS MADE TO THE HANDS OF THE FAITH par Mason Remey, à la suite de la
disparition de Shoghi Effendi.
ANNOUNCEMENT TO THE HANDS OF THE FAITH FROM MASON REMEY, THE SECOND
GUARDIAN OF THE BAHÁ’Í FAITH OF HIS APPOINTMENT OF GUARDIANSHIP
BY THE FIRST GUARDIAN OF THE FAITH.
Proclamation de Mason Remey, au Monde Bahá’í
à Ridván en 1960, mettant en avant sa légitime
revendication au gardiennat, sur la base de sa nomination par Shoghi
Effendi en stricte obéissance aux termes du Testament d’`Abdu’l-Bahá.
Trois lettres encycliques de Mason Remey.
THE
QUESTION OF THE GUARDIANSHIP OF THE BAHÁ’Í FAITH composé par Mason Remey,
1960.
Preuve irréfutable que Shoghi Effendi, le premier Gardien de la Foi Bahá’í,
a désigné un successeur. Un article écrit par Joel Bray Marangella.
HERALD OF THE
COVENANT incluant une lettre ouverte aux amis Bahá’ís, du 9 juillet 1960, par Joel
B. Marangella, ancien président de l’Assemblée Nationale de France et Membre
Auxillaire des Mains de la Cause en Europe, établissant les raisons de l’approbation de
Mason Remey, comme second Gardien de la Foi.
HERALD OF THE COVENANT Hiver 1974/75, donnant un bref
historique de la violation du Covenant de Bahá’u’lláh au Centre mondial de la
Foi Bahá’íe, à la suite de la disparition du premier Gardien de la Foi
Bahá’íe, écrit par Joel Bray Marangella.
HERALD OF THE COVENANT, Hiver 1973/74, publié par le
Bureau européen de la Foi Bahá’í orthodoxe, contenant parmi d’autres
articles, un article qui parle de l’Arbre du Covenant de Bahá’u’lláh et
un résumé des croyances des Bahá’ís orthodoxes, sous le gardiennat
vivant.
HERALD OF THE COVENANT novembre 1977: « Quelle est
l’essence de la loyauté au Covenant de Bahá’u’lláh et qui sont les
violateurs du Covenant, ceux du jour présent? », écrit par Joel Bray
Marangella.
HERALD OF THE
COVENANT janvier 1985, donnant un « Commentaire du
Testament de `Abdu’l-Bahá », écrit par Joel Bray Marangella.
Lettres sans
réponses à Rúhíyyih Khánum. Quatre lettres envoyées
à Rúhíyyih Khánum, par le troisième Gardien de la Foi
Bahá’í, datées de Ridván 1988, Ridván 1990, 30 decembre 1990,
et de Naw-Rúz 1999, écrit par Joel B. Marangella.
THE
BAHÁ’Í FAITH – A SUMMARY OF ITS AIMS, TEACHINGS AND HISTORY. Auteur: Joel B.
Marangella.
Une introduction d’« Un appel aux
Bahá’ís hétérodoxes » qui insiste sur le fait que les
futurs savants spirituels, reconnaîtrons inévitablement, la continuité du
gardiennat, assuré par Shoghi Effendi et rejetterons une organisation Bahá’íe
substitutive, crée par l’homme, à la place de l’ordre administratif,
divinement conçu, défini par `Abdu’l-Bahá dans Son Testament. Auteur: Joel
B. Marangella.
« Un appel
aux Bahá’ís hétérodoxes » publié dans les
principaux journaux, avec par exemple, l’appel paru dans le « Glasgow
Herald », Glasgow-Ecosse. Auteur: Joel Bray Marangella.
« La
véritable hérésie dans la Foi Bahá’íe
d’aujourd’hui. » Un article écrit par Franklin D. Schlatter.
« Attention: Cette Foi religieuse représente aujourd’hui une
hérésie. » Un article écrit par Franklin D. S chlatter.
« Les
institutions jumelles du gardiennat et de la Maison universelle de justice. »
« La voie de la succession de Bahá’u’lláh:
Le Covenant secondaire. » Deux brochures composées par K. J. Herman, sous la
direction du Conseil-mère Bahá’í des États-Unis
d’Amérique
Illustration de
l’ordre administratif, envisagé par `Abdu’l-Bahá dans Son Testament.
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